Le capitaine du MANS FC en interview avant la réception de Boulogne ce soir (20h au MMArena).

Stéphen, le partage des points la semaine dernière à Quevilly était rageant (1-1)…
Se faire rejoindre dans les dix dernières minutes, c’est vrai, ce n’est pas facile. Forcément. Mais, malgré tout, on a stoppé la spirale négative, ça a fait du bien, il faut rester positif. La confiance revient, on en a besoin.

Plus la saison avance et plus les adversaires vous connaissent. Ça ne doit pas être simple…
Comparé aux années précédentes, où les matches n’étaient pas diffusés, l’apport de la vidéo fait qu’on est scruté ; les équipes nous regardent et essayent de nous stopper. Et on est LE MANS FC, on ne va pas se mentir ou se cacher, on est attendu à chaque rencontre. Nos adversaires ont envie de tout donner quand ils viennent au MMArena. À nous de trouver des solutions.

« On travaille vraiment bien en ce moment, il faut que ça se matérialise sur le terrain »

Quelles sont-elles, ces solutions ?
Être un peu plus surprenant, faire un peu plus encore. Mais comment arrive-t-on à ses fins ? En marquant des buts. À nous de mettre les attaquants, nos attaquants, dans les meilleures conditions possibles, que ce soit par la dernière passe et/ou l’avant-dernière passe. On travaille vraiment bien en ce moment, il faut que ça se matérialise sur le terrain.

Parle-nous de ton rôle de capitaine…
Quand tout va bien, c’est facile. Quand ça va un petit peu moins bien, il faut trouver les bons mots pour ramener de la sérénité, de la confiance, rassurer, il faut aller voir les joueurs individuellement - c’est à ma manière et il y a d’autres personnes qui interviennent. Il faut savoir aussi se dire les choses, et les entendre. Mais le groupe est réceptif. Et, sincèrement, je n’attends pas que ça aille un petit peu moins bien pour prendre la parole.

Billetterie LE MANS FC-Boulogne (dès 7€)